01 - Morphogenese | detroit-renaitre

Morphogenèse et population

Detroit est un bon exemple de Shrinking City. Tombée sous le seuil des 700 000 habitants en 2014, la ville a perdu près de 60% de sa population depuis les années 1950, époque où plus de 1,8 millions de personnes y résidaient. Les ménages biens nantis ont délaissé le centre-ville pour les banlieues, laissant derrière eux un centre-ville dévitalisé où, en 2013, près de la moitié de la population vivait sous le seuil de la pauvreté (Briche, 2016). Cette décroissance démographique extrême s’explique en grande partie par la désindustrialisation et par une discrimination raciale sur les marchés du logement et du travail, entravant la croissance urbaine (Sugrue, 1996).

Alors que les banlieues ne subissent que des fluctuations démographiques mineures, le centre-ville voit s'opérer un exode important de ses résidents. Le tout résulte en une inversion du rapport de densité entre le cœur de la ville et ses abords.
Alors que les banlieues ne subissent que des fluctuations démographiques mineures, le centre-ville voit s'opérer un exode important de ses résidents. Le tout résulte en une inversion du rapport de densité entre le cœur de la ville et ses abords.
Alors que les banlieues ne subissent que des fluctuations démographiques mineures, le centre-ville voit s'opérer un exode important de ses résidents. Le tout résulte en une inversion du rapport de densité entre le cœur de la ville et ses abords.
Alors que les banlieues ne subissent que des fluctuations démographiques mineures, le centre-ville voit s'opérer un exode important de ses résidents. Le tout résulte en une inversion du rapport de densité entre le cœur de la ville et ses abords.
De façon globale, la densité de la population chute drastiquement entre 1950 et 2010.
La décroissance démographique de Détroit est de loin supérieure à celle de toutes les autres villes majeures américaines.

Le déclin du bâti au centre-ville s'exprime explicitement entre 1911 et 2011. Stationnements et autoroutes prennent place et fragmentent le tissu urbain autrefois dense et régulier. Aujourd'hui, plusieurs propriétés sont abandonnées, stationnements déserts et autoroutes sous-utilisées.
Le déclin du bâti au centre-ville s'exprime explicitement entre 1911 et 2011. Stationnements et autoroutes prennent place et fragmentent le tissu urbain autrefois dense et régulier. Aujourd'hui, plusieurs propriétés sont abandonnées, stationnements déserts et autoroutes sous-utilisées.
Le déclin du bâti au centre-ville s'exprime explicitement entre 1911 et 2011. Stationnements et autoroutes prennent place et fragmentent le tissu urbain autrefois dense et régulier. Aujourd'hui, plusieurs propriétés sont abandonnées, stationnements déserts et autoroutes sous-utilisées.
Le déclin du bâti au centre-ville s'exprime explicitement entre 1911 et 2011. Stationnements et autoroutes prennent place et fragmentent le tissu urbain autrefois dense et régulier. Aujourd'hui, plusieurs propriétés sont abandonnées, stationnements déserts et autoroutes sous-utilisées.

source : Conrad Kickert

Alors que les banlieues ne subissent que des fluctuations démographiques mineures, le centre-ville voit s'opérer un exode important de ses résidents. Le tout résulte en une inversion du rapport de densité entre le cœur de la ville et ses abords.

Alors que les banlieues ne subissent que des fluctuations démographiques mineures, le centre-ville voit s'opérer un exode important de ses résidents. Le tout résulte en une inversion du rapport de densité entre le cœur de la ville et ses abords.

Alors que les banlieues ne subissent que des fluctuations démographiques mineures, le centre-ville voit s'opérer un exode important de ses résidents. Le tout résulte en une inversion du rapport de densité entre le cœur de la ville et ses abords.

Alors que les banlieues ne subissent que des fluctuations démographiques mineures, le centre-ville voit s'opérer un exode important de ses résidents. Le tout résulte en une inversion du rapport de densité entre le cœur de la ville et ses abords.

De façon globale, la densité de la population chute drastiquement entre 1950 et 2010.

La décroissance démographique de Détroit est de loin supérieure à celle de toutes les autres villes majeures américaines.

Le déclin du bâti au centre-ville s'exprime explicitement entre 1911 et 2011. Stationnements et autoroutes prennent place et fragmentent le tissu urbain autrefois dense et régulier. Aujourd'hui, plusieurs propriétés sont abandonnées, stationnements déserts et autoroutes sous-utilisées.

Le déclin du bâti au centre-ville s'exprime explicitement entre 1911 et 2011. Stationnements et autoroutes prennent place et fragmentent le tissu urbain autrefois dense et régulier. Aujourd'hui, plusieurs propriétés sont abandonnées, stationnements déserts et autoroutes sous-utilisées.

Le déclin du bâti au centre-ville s'exprime explicitement entre 1911 et 2011. Stationnements et autoroutes prennent place et fragmentent le tissu urbain autrefois dense et régulier. Aujourd'hui, plusieurs propriétés sont abandonnées, stationnements déserts et autoroutes sous-utilisées.

Le déclin du bâti au centre-ville s'exprime explicitement entre 1911 et 2011. Stationnements et autoroutes prennent place et fragmentent le tissu urbain autrefois dense et régulier. Aujourd'hui, plusieurs propriétés sont abandonnées, stationnements déserts et autoroutes sous-utilisées.